Le juge qui a faim est plus sévère...

Date de publication :

09/12/2014
Méfiez-vous d’un juge affamé !

Un petit intermède au milieu de la publication des jurisprudences de la Chambre sociale avec cet article d'un blog scientifique.

Cet article reprend les résultats d'une étude israélienne sur l'influence des libérations conditionnelles accordées par les juges en fonction de l'heure de passage devant le juge.

La conclusions de cette étude est la suivante :

" En clair, si vous passez quand le juge a le ventre plein et l’esprit reposé, vous avez deux chances sur trois d’être libéré; si vous passez quand il a le ventre vide, vos chances sont quasi-nulles. Inquiétant, non ?"

Ca fait réfléchir, non ?

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